Polaroids du frère
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| Auteur | DELACOURT, Grégoire (Auteur) |
| Editeur | Albin Michel : Paris , 2025 |
| Collation | 176 p. |
| Format | 21 cm |
| Illustration | couv. en coul. |
| ISBN | 978-2-226-50337-4 |
| Prix | 17€90 |
| Langue Edition | français |
| Sujets | Auteur francophone |
| Promotions |
| Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 |
| Site | Numéro | Cote | Section | Etat |
| André Stil | 0709490300 | R DEL p | Section Adulte | Sorti |
Contient :
<span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Cette mise à nu est bouleversante. Le Parisien Un écrit puissant, mélancolique et pourtant lumineux. La Voix du Nord [Le] poignant portrait-kaleïdoscope d'une famille ravagée. Le Monde Ces polaroïds s'ancrent dans nos rétines pour mettre en lumière ce frère qui n'a jamais autant brillé que depuis que ce livre existe. Franceinfo C'est ton prénom que je voudrais donner à ce livre. C'est le silence autour de toi que je cherche à chambarder.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Gaver de mots et d'images l'épouvante de l'effacement, jusqu'à effacer le mot effacement lui-même, car on dit que si un mot n'existe pas, la chose qu'il représente n'existe pas non plus. Toutefois, il est curieux de constater qu'il n'existe pas de mot pour définir un frère qui a perdu son frère ; et je t'ai perdu. Alors les hommes font des livres à leurs frères morts comme on érige des mémoriaux aux inconnus dans les villages pour retenir leurs cendres.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">La littérature est un vaste cimetière et j'y pioche ta place.</span>,
<span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Cette mise à nu est bouleversante. Le Parisien Un écrit puissant, mélancolique et pourtant lumineux. La Voix du Nord [Le] poignant portrait-kaleïdoscope d'une famille ravagée. Le Monde Ces polaroïds s'ancrent dans nos rétines pour mettre en lumière ce frère qui n'a jamais autant brillé que depuis que ce livre existe. Franceinfo C'est ton prénom que je voudrais donner à ce livre. C'est le silence autour de toi que je cherche à chambarder.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Gaver de mots et d'images l'épouvante de l'effacement, jusqu'à effacer le mot effacement lui-même, car on dit que si un mot n'existe pas, la chose qu'il représente n'existe pas non plus. Toutefois, il est curieux de constater qu'il n'existe pas de mot pour définir un frère qui a perdu son frère ; et je t'ai perdu. Alors les hommes font des livres à leurs frères morts comme on érige des mémoriaux aux inconnus dans les villages pour retenir leurs cendres.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">La littérature est un vaste cimetière et j'y pioche ta place.</span>,






