![]() Truman Capote Retour à Garden City
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Auteur | Xavier BETAUCOURT (Auteur) |
BETAUCOURT, Nadar (Auteur) | |
Editeur | Futuropolis : Paris , 2024 |
Collation | 30x20 |
Format | 108 cm |
ISBN | 9782754835084 |
Prix | 21 |
Langue Edition | français |
Sujets |
taxo_matiere
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Promotions |
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 |

Site | Numéro | Cote | Section | Etat |
André Stil | 0675580300 | BDA TRU | Section Adulte | Disponible à André Stil |
Contient :
<span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Avec De sang-froid, Truman Capote affirmait avoir voulu raconter la réalité, juste la réalité. Ce qui est vrai... dans une certaine mesure. Cela correspond parfaitement à sa personnalité à la fois sincère et manipulatrice. Ainsi, il transformait souvent la réalité de sa vie dans le sens où ça l'arrangeait. Il y a le jet-setter qui mettait en scène une vie flamboyante mais qui se détruisit physiquement à écrire cette histoire.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Truman prétendait également être adoré dans le Kansas, ce qui était vrai, en partie, car sa personnalité était clivante chez ceux qu'il surnommait "les ploucs". Et il y eut cette relation avec Perry Smith, son double négatif, l'un des deux condamnés à mort. Chacun d'eux croyaient se reconnaître dans l'autre. Admiration pour Perry, fascination pour Truman. Ce dernier était-il sincère ou se servait-il simplement de Perry pour son roman ? Ici, la réalité des meurtres, du procès et de l'exécution est montrée à travers les scènes du film.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">En noir et blanc, comme autant de ruptures. L'histoire se concentre sur la violence d'écrire, d'attendre et d'accompagner quelqu'un que l'on connait "mieux que soi-même" à l'échafaud. Pourtant, entre écrire la réalité et la vivre, il y a un monde...</span>,
<span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Avec De sang-froid, Truman Capote affirmait avoir voulu raconter la réalité, juste la réalité. Ce qui est vrai... dans une certaine mesure. Cela correspond parfaitement à sa personnalité à la fois sincère et manipulatrice. Ainsi, il transformait souvent la réalité de sa vie dans le sens où ça l'arrangeait. Il y a le jet-setter qui mettait en scène une vie flamboyante mais qui se détruisit physiquement à écrire cette histoire.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">Truman prétendait également être adoré dans le Kansas, ce qui était vrai, en partie, car sa personnalité était clivante chez ceux qu'il surnommait "les ploucs". Et il y eut cette relation avec Perry Smith, son double négatif, l'un des deux condamnés à mort. Chacun d'eux croyaient se reconnaître dans l'autre. Admiration pour Perry, fascination pour Truman. Ce dernier était-il sincère ou se servait-il simplement de Perry pour son roman ? Ici, la réalité des meurtres, du procès et de l'exécution est montrée à travers les scènes du film.</span><br style="box-sizing: border-box; color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;"><span style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: Merriweather, serif; font-size: 15px;">En noir et blanc, comme autant de ruptures. L'histoire se concentre sur la violence d'écrire, d'attendre et d'accompagner quelqu'un que l'on connait "mieux que soi-même" à l'échafaud. Pourtant, entre écrire la réalité et la vivre, il y a un monde...</span>,